Sur les deux infinis de Pascal |
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Remarquez combien de fois on lit "étonnement, s'étonner, étonnant" ? Que suggèrent les mots, "entière", "pleine", "éternelle", "nulle", "nulle part", "partout"? |
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Dans le premier paragraphe, l'homme trouve que l'univers est comment? L'univers devient de plus en plus comment? |
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Quels mots du premier paragraphe évoquent la géométrie? |
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Et, toujours dans le premier paragraphe, l'homme trouve qu'il est, lui, comment? |
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Dans le deuxième paragraphe, l'homme est comme "égaré" dans l'univers. Trouvez un synonyme de "égaré". |
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Il s'agit d'un insecte tout petit. On analyse l'insecte et trouve des parties encore plus petites. Bref, cet univers invisible (sans l'aide d'un microscope) devient de plus en plus comment? |
7 |
Quelle sont les réactions de l'homme en contemplant l'infiniment grand ou l'infiniment petit qui l'entourent? |
8 |
Où se situe l'homme dans cette nature entière? |
9 |
Est-ce que l'homme devrait se sentir bien dans la nature ainsi décrite par Pascal? Est-ce que l'homme se sent chez soi dans l'univers? |
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Pour Pascal, les sciences peuvent-elles nous permettre de percer les mystères de notre condition? |
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Celui (ou celle) qui chercherait à comprendre la nature, l'univers ou en est capable grâce à quoi? |
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Imaginez tout ce passage comme un drame enregistré sur vidéo, ou mis en scène sur le théâtre. Comment représenteriez-vous le scénario? |