Sur les deux infinis de Pascal
1
Remarquez combien de fois on lit "étonnement, s'étonner, étonnant" ? Que suggèrent les mots, "entière", "pleine", "éternelle", "nulle", "nulle part", "partout"?
2
Dans le premier paragraphe, l'homme trouve que l'univers est comment? L'univers devient de plus en plus comment?
3
Quels mots du premier paragraphe évoquent la géométrie?
4
Et, toujours dans le premier paragraphe, l'homme trouve qu'il est, lui, comment?
5
Dans le deuxième paragraphe, l'homme est comme "égaré" dans l'univers. Trouvez un synonyme de "égaré".
6
Il s'agit d'un insecte tout petit. On analyse l'insecte et trouve des parties encore plus petites. Bref, cet univers invisible (sans l'aide d'un microscope) devient de plus en plus comment?
7
Quelle sont les réactions de l'homme en contemplant l'infiniment grand ou l'infiniment petit qui l'entourent?
8
Où se situe l'homme dans cette nature entière?
9
Est-ce que l'homme devrait se sentir bien dans la nature ainsi décrite par Pascal? Est-ce que l'homme se sent chez soi dans l'univers?
10
Pour Pascal, les sciences peuvent-elles nous permettre de percer les mystères de notre condition?
11
Celui (ou celle) qui chercherait à comprendre la nature, l'univers ou en est capable grâce à quoi?
12
Imaginez tout ce passage comme un drame enregistré sur vidéo, ou mis en scène sur le théâtre. Comment représenteriez-vous le scénario?