-- Jamais de la vie! Jamais je ne vendrai le mas où ma mère est née. Avec ce prêt je pourrai acheter un mulet et des outils de mineur et quelques kilos de poudre pour pulvériser cette roche maudite. (p.91)

Pas de cages! Moi, je vais établir un grand parc, et je ferai un Élevage Moderne, un élevage en plein air! Avec une clôture de deux mètres de haut et des terriers souterrains, dont l'entrée sera un tube de ciment! (p. 50)

-- J'ai pas de mulet, pas de poules. Je porte pas de chaussettes. Alors, une femme, à quoi elle me servirait? (p. 9)

Dans tout ce que tu me dis, il n'y a qu'une chose de bonne, c'est qu'il s'est mis au vin rouge. Les gens qui veulent trop en faire, ils cherchent la force dans le vin. Et au bout de six mois, ils ne sont plus bons à grand'chose. (p. 89)

-- Je suis fort, parce que j'ai des sous. Dis-lui que tu as un vieil oncle qui lui fait une hypothèque de quatre mille francs à un petit intérêt. ... S'il réussit, il me paiera les intérêts et il me remboursera. Sinon, nous aurons la ferme. (p. 92)

Pleure pas, petite, pleure pas. Écoute-moi bien. Ce monsieur achète la ferme pour me la louer à moi. Moi, ces champs je veux les cultiver. C'est à côté de chez moi. Alors, moi, je resterai à Massacan, et vous, vous resterez ici tant que vous voudrez. Ce sera toujours la maison de M. Jean. (p. 99)

Marius, ne crie pas comme ça et n'insulte pas les Soubeyran, parce que ça pourrait mal finir! (p. 17)

J'ai pensé à votre problème de l'eau. La citerne des Romarins est bien petite, mais quand il pleut, il y a beaucoup d'eau là-haut sur le chemin : alors, si vous aviez des tuyaux, vous feriez une petite conduite jusqu'à la citerne et elle serait toujours pleine! (p. 48-49)